Coup de Gueule Voie férrée Montréjeau-Luchon

[IC]

LUCHON
Ligne Montréjeau-Luchon : la mobilisation s'organise pour le maintien des transports Public

Alain Puente, président du collectif du développement du rail en Comminges, ne cache pas son inquiétude : « Si des travaux ne sont pas réalisés rapidement, il y a peu de chances pour que la ligne SNCF Montréjeau-Luchon existe encore dans les prochaines années ». C'est par ces propos pessimistes que s'est ouverte la grande réunion sur le devenir de la ligne qui a réuni une centaine de personnes dont de nombreux élus au foyer municipal de Moustajon.

En cause, l'état préoccupant des infrastructures ferroviaires entre Montréjeau et Luchon. De son côté, le député Jean-Louis Idiart a rappelé que ce service public était « non seulement essentiel au développement économique de la zone mais qu'il constituait aussi une alternative incontournable au tout routier dans une logique de développement durable ». Les membres du CDRC ont proposé toute une série de mesures. Parmi celles-ci, la modernisation des infrastructures, la création de nouvelles dessertes ferroviaires à  la place des bus et la mise en place d'offres commerciales à  destination de la clientèle thermale et des stations de ski ». Sur ce point, Henri Denard, conseiller général, a proposé la mise en place de navettes par bus entre Peyragudes et la gare de Luchon. De Patrice Rival, conseiller général du canton de Barbazan à  René Rettig, maire de Luchon, tous les élus se sont dit convaincus « de la nécessité de mobiliser le plus largement possible pour défendre cet outil essentiel à  notre développement ». Mais Alain Puente a tenu à  prévenir : « Encore une fois, nous sommes tous unanimes pour dire qu'il faut conserver le train. Mais au-delà  des élus, il appartient à  chacun d'entre nous de se mobiliser. Si nos partenaires n'étaient pas convaincus par nos projets, il faudrait alors se faire entendre d'une autre manière. Et là , notre crédibilité serait fonction de notre capacité à  rallier le plus grand nombre

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Absolument d'accord avec toi : IC
comment laisser à  l'abandon une ligne qui contribue
à  l'économie dune zone active comme Luchon et le Comminges
et aussi contre la desertification rurale.
Par ailleurs à  l'époque du réchauffement planétaire lié aux effet de Serre
les transport en commun et particuliérement le Train c'est encore ce qi ce fait de mieux .

Peut être doit on envisager sur Luchon une action de protestation civile
comme pour les Ours en essayant d'avoir des élus sensibilisés au probléme
et surtout conscient du besoin

[Montagnol]

Malgrés ce que l'on peut lire actuellement sur les efforts et investissement
réalisés par le conseil Régional avec X villes à  moins d'1H30 de Toulouse.
Il y a une grosse différence entre le discours de Malvy et la réalité du quotidienne du Citoyen .
Qui n'a pas vraiment le choix entre les bouchons en voiture ou transport en commun inadapté ou comme ici à  l'abandon .
Il ne lui reste plus qu'à  payer ses impôts pour la collectivité
mais sans rien en retour par rapport à  ses besoins comme d'Hab quoi
Je suis plus pour engager une manifestation
sur Toulouse et devant le conseil régional

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J'ai pu lire dans la presse que le plan régional des transports 2006-2013 a été adopté par les élus.
Et que la SNCF par sa PRESIDENTE ANNE-MARIE IDRAC ET LE DIRECTEUR REGIONAL: ont présenté Le plan de la SNCF pour améliorer le TER

Je ne suis pourtant pas Persuadé que la ligne TLSE -> Luchon sera intégrée dans ce plan .
Il Faudrait pouvoir la faire inclure dans le programme travaux annoncé .
Voir ci dessous un extrait de l'article sur La dépêche hier 30/03/07
LA PRESIDENTE ANNE-MARIE IDRAC ET LE DIRECTEUR REGIONAL:
Présentent Le plan de la SNCF pour améliorer le TER et annonce un programme de travaux sur les voies et ouvrir les chantiers dès 2008
Trains en retard ou annulés, voies vétustes, voyageurs exaspérés : la SNCF s'est expliquée et a formulé des propositions hier dans l'enceinte du conseil régional, autorité organisatrice du Train Express Régional.
« Nous exigeons de la SNCF un service de qualité et une exécution rapide du plan de rénovation des voies » indiquait le président Malvy, suivi sur ce point par les élus de tous les groupes politiques.
La présidente Anne-Marie Idrac en personne s'est déplacée pour détailler les mesures prises afin « d'améliorer le service, l'information du voyageur et de répondre au grand programme de rénovation du réseau lancé par la Région ».

La SNCF mobilise ainsi 25 experts pour définir un programme de travaux sur les voies et ouvrir les chantiers dès 2008.
Des postes sont créés aux nouveaux ateliers de maintenance de Toulouse et des formations de 18 conducteurs sont ouvertes. « Je viens aussi à  la rencontre des cheminots pour améliorer le dialogue social et éviter d'en arriver à  la grève en cas de conflit » précise Anne-Marie Idrac. Bombardé de questions par les élus, le directeur régional, Stéphane Coursier, a confirmé la fermeture de la ligne Colomiers-Auch pendant l'été « afin de rétablir toutes les dessertes à  la rentrée » et le succès… du TER malgré annulations et récriminations. Depuis deux mois, la fréquentation sur les lignes du Tarn et de l'Aveyron a progressé de 15 %.